Bienvenue à vous qui avez poussé ma porte.

Avant tout, deux images de l'averse de grêle que nous avons subie ce jeudi après-midi, pour nous rien de bien grave, mais je pense aux agriculteurs qui sont une nouvelle fois en grande peine !

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Comme je vous le dis en titre, une petite exposition d'artistes locaux s'est tenue la semaine dernière dans notre ville. Une bonne raison pour faire connaissance et apprécier certaines créations.

Cette semaine je vous présente les sculptures qui on retenu mon attention, certaines plus que d'autres, mais d'une manière générale, je n'ai pas été déçue par ces artistes.

 La semaine prochaine, je vous montrerai quelques tableaux que j'ai aimés.

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Une nouvelle envie de couture et cette semaine un grand sac cabas est né de ma petite imagination. Les tissus sont ceux de mon stock et j'ai pris grand plaisir à assembler ces motifs.

Sur le devant j'ai appliqué un morceau de drap ancien avec broderies et monogramme, les coutures sont cachées par une jolie dentelle en haut et un ruban nominettes en bas ; je l'ai agrémenté d'un très gros bouton rond et de trois jolis boutons issus du récent cadeau de Catherine.

Les anses en cuir stynthétique viennent de chez Buttinette.

Pour la doublure, j'ai utilisé un morceau d'une ancienne taie de traversin toute neuve (trouvée chez Maman), les coloris s'harmonisent bien.

J'ai ajouté une poche intérieure et un lien avec un petit mousqueton pour les clés ou le jeton de caddie.

Comme j'avais encore du tissu, j'ai rajouté une pochette pour les mouchoirs et un étui pour le smartphone.

Et pour utiliser la totalité du coupon, deux autres pochettes pour mouchoirs qui seront offertes.

Alors, il est comment ce nouveau sac cabas ? Moi je l'aime déjà !

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Je vous souhaite un très beau premier mai, tout le bonheur possible et de jolis moments avec votre famille et vos amis.

A très bientôt, je vous embrasse. Mireille.

Bienvenue à vous qui avez poussé ma porte.

Avant de passer au jardin, je vous offre ma participation à la ronde d'avril proposée par Lylou-Anne, sur le thème des "coquetiers de Pâques"... ou pas !

Sauf le coquetier "petit cochon", mes coquetiers sont anciens, de famille ou chinés.

Ils ne servent pas très souvent, même si j'aime beaucoup les oeufs à la coque, mais je crois que nous ne pensons plus à les consommer ainsi !

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Alors au jardin, quoi de neuf me direz-vous ?

Tout d'abord j'ai bien oublié de vous montrer la cabane à outils que nous avons repeinte l'été dernier, ce n'est pas que je sois en retard, mais tout de même...

La voici "avant" (l'occasion de saluer monsieur Marcel l'écureuil).

Et la voici aujourd'hui, dépouillée de toutes ses décorations extérieures que l'Homme n'aimait pas trop.

Le mois dernier, j'ai terminé la seconde bordure, au pied de notre terrasse en bois (côté gauche sur la photo - le côté droit ayant été planté il y a un an), de façon à avoir une jolie vue depuis le fond du jardin. Pour le moment on voit encore les parpaings, mais les plantes ont vocation à pousser, alors je suis confiante.

Du côté "cour" ou rue, j'ai réinstallé ma petite déco bistrot. Cela rempli un peu le vide derrière les voitures.

Sur le mur, de jolies petites fleurs sont apparues et les bruyères sont toujours très belles, j'ai envie de les conserver ainsi dans leurs bacs.

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Pour terminer ce petit billet, je vous offre ce bouquet de lilas que je me suis offert en allant dans la campagne environnante munie de mon sécateur...

Prenez soin de vous et des vôtres, prenez aussi du bon temps, car la vie ne fait pas que des cadeaux. Il y a tant de personnes qui souffrent dans leur chair ou dans leur coeur, pour eux allons de l'avant !

A bientôt, je vous embrasse. Mireille.

Bienvenue à vous qui avez poussé ma porte !

La roue de la chance a bien voulu tourner favorablement pour moi chez Catherine, sur son joli blog "L'oiseau du Grenier" !

Une bien jolie valisette est arrivée à la maison avec son lot de cadeaux.

 Et le cadeau surprise reprenant ma couleur préférée, le rouge : cet ancien pot à poivre qui a vite trouvé sa place dans la cuisine.

 Merci Catherine, tu m'as gâtée, tout me plait !

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Nous revoici à Lyon pour la seconde partie de notre petite virée. 

Le rendez-vous était au coeur de la Gare de Perrache ; en premier lieu, redécouverte de son lustre géant.

Le lustre du centre d'échanges de Perrache est très peu connu des Lyonnais. Comme quoi on ne lève pas assez les yeux... Constitué de luminaires en aluminium poli, haut d'une dizaine de mètres, le lustre, à l'origine, tournait sur lui-même. C'est Jean-Pierre Vincent, auteur de l'horloge de la Part-Dieu, qui l'a créé dans les années soixante-dix.

 Suite très étonnante de la visite avec les toits de la Gare !

En effet, les toits du centre d’échange, avec des jardins suspendus dont nous ignorions l’existence. Les jardins sont laissés un peu à l’abandon, ils dominent l'entrée du tunnel de Fourvière. L’emplacement avec une vue dégagée sur la ville et l’existence méconnue de ce site lui donne un air insolite, particulier.

Une vue magnifique depuis ce toit de la Gare.

 L'habillage de verdure du parking de Perrache est assez réussi, à mon goût.

Direction ensuite les prisons St Paul St joseph abritant désormais une université catholique avec quelques vestiges des anciennes prisons mariant l’ancien et le moderne.

Nous nous rendons ensuite vers l'église Ste Blandine place de l’hippodrome. Eh oui ! Les courses se déroulaient à cet endroit, bien avant Villeurbanne et Parilly. Mais l’ancien hippodrome, situé entre Rhône et Saône, était souvent inondé, d’où son déplacement.

 Au coeur de Perrache, ces cinq petites maisons font de la résistance vis-à-vis des promoteurs qui ont depuis quelques années abordé la transformation du quartier.

 Au coeur de ce quartier se situait il n'y a pas si longtemps, le Marché-Gare. L'Usine frigorifique de la Société des Entrepôts Frigorifiques Lyonnais a été transformée en un grand immeuble de bureau, conservant sa structure initiale.

Nous poursuivons notre balade vers le nouveau quartier Confluence, situé à l'extrémité de la presqu'île de Lyon, allant donc jusqu'à la confluence du Rhône et de la Saône.

Le développement architectural de ce quartier s'effectue le long d'un axe matérialisé par le Cours Charlemagne. C'est l'ancien maire de Lyon, monsieur Raymond Barre qui a lancé ce projet d'urbanisation de l'ancienne zone du marché gare et de la zone portuaire qui y était liée.

Différents architectes se sont partagé la création de logements et de bureaux, mêlés pour créer un centre convivial et vivant. Les réalisations plaisent ou non, ce n'est pas mon débat, je veux juste vous montrer ce que nous avons vu.

Petite parenthèse avec cet accès réservé aux handicapés pour cet immeuble aux façades de bois. Je ne suis pas certaine que cet accès soit très utilisé, c'est plutôt un parcours du combattant !

La capitainerie, ci-dessous, du nouveau port de Confluence.

Une architecture originale, ce cube orange avec un trou (photo suivante) géant faisant office de puit de lumière pour illuminer le hall central.

 Et pour terminer, le cube vert !

Ces immeubles abritent des logement et des bureaux. Je ne sais pas comment tout cela passera le temps, mais pour l'instant ce "joyeux" mélange d'idées semble bien fonctionner. Il manque le nouveau musée Confluence, nous ne l'avons pas visité lors de cette sortie, personnellement je l'ai visité début 2016, il est très bien conçu.

Si vous avez l'occasion de passer par Lyon, n'hésitez pas à découvrir la ville, il y a tant et tant de beaux quartiers à découvrir.

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Merci de vos visites et commentaires. Je vous souhaite un très beau weekend de Pâques, en famille, avec des amis ou en solo (ce sera notre cas). Portez-vous bien !

A bientôt, je vous embrasse. Mireille.

Bienvenue à vous qui avez poussé ma porte.

J'ai pris le temps de poser ma petite décoration de Pâques avec Dame Poule qui surveille ses oeufs.

 Avec cet oeuf ancien, en métal, chiné il y a quelques années.

 Et ces oeufs que j'ai entourés de rubans de coloris différents ; pour les faire tenir droits, j'ai collé en dessous une pièce de monnaie ancienne.

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La semaine dernière, nous avons passé deux jours à Lyon, l'occasion d'un retour dans cette ville que nous avons quittée il y a seize ans et où j'ai vécu pendant vingt ans.

Histoire de voir la ville autrement, notre groupe était accompagné d'un guide hors du commun avec qui nous avons passé de très bons moments : Jean-Luc Chavent.

 Notre point de départ pour la première  balade était le site de Fourvière, que nous avons atteint en utilisant la "ficelle", le téléphérique urbain toujours en service à Lyon.

Du coup, quoi de mieux que l'esplanade de Fourvière pour faire de belles photos de la ville. 

Cliquez sur les images pour agrandir.

 Vue de Fourvière, la place Bellecour est superbe !

 En mode "panoramique", une jolie vue sur la ville.

 Au premier plan, la cathédrale Saint-Jean.

Quelques belles images de la basilique de Fourvière dont l'histoire est fabuleuse.

 Après la basilique, ce fut la descente vers le quartier Saint-Paul, en empruntant notamment la montée du Gourguillon... que nous avons descendue !

 Nous voici impasse Turquet, petite impasse donnant sur la montée du Gourguillon, constituée de deux maisons médiévales qui sont les seules à avoir conservé leurs galeries à pans de bois.

Le nom d'Etienne Turquet, donné à cette impasse, est celui d'un fabriquant et promoteur de la soie à Lyon.

 N'oublions pas l'évocation du théatre de Guignol, avec son compère Gnafron !

 Vue d'en bas, la nuit, Fourvière brille de tous ses feux !

 J'espère ne pas avoir été trop longue... la semaine prochaine la suite de la balade, qui nous conduira de Perrache au nouveau quartier de Confluence.

Merci de vos visites, prenez du bon temps, aimez-vous et dites-le, c'est si important.

A bientôt, je vous embrasse. Mireille.

Bienvenue à vous qui avez poussé ma porte.

Merci à celles qui ont tenté leur chance au petit jeu proposé la semaine dernière.

Petit rappel : il s'agissait de deviner le nombre de mignonnettes de parfums contenues dans mon bocal

 La réponse est : 58 petits flacons de parfums.

  Vous  avez été 19 à me proposer un chiffre ; personne n'a trouvé la bonne réponse. Deux propositions identiques sont les plus proches de 58, avec un chiffre de 63 mignonnettes. 

J'ai dû faire un tirage au sort pour désigner la gagnante ; c'est donc mon homme qui a choisi l'un des deux papiers pliés contenant chacun le prénom des deux "postulantes".

La gagnante est donc Pascale que vous connaissez sans nul doute toutes ; elle recevra mon petit cadeau de déco de Pâques

 Et comme je ne sais pas laisser quelqu'un dans le désaroi, voici le cadeau de consolation que j'offre à Monique qui a donc fini ex-aequo.

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En novembre dernier j'ai préparé mon traditionnel vin d'oranges.

Cette semaine c'était filtrage et mise en bouteilles. Le cru 2017 me satisfait, nous l'avons goûté et validé !

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Il y a quelques semaines nous recevions des amis à dîner et j'ai voulu une nouvelle déco de table, tout en noir et or. Avec ma nappe noire, j'ai ajouté des sous-assiettes dorées qui s'accordent à merveille avec mon service blanc aux bords dorés.

 J'ai passé à la bombe or des clés anciennes pour faire des porte-couteaux. De même j'ai vidé des noix et les ai refermées avant de les bomber en or pour décorer le centre de la table autour d'une bougie.

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Je vous offre la floraison de notre cerisier ce printemps : sera-t-elle gage de fruits gorgés de soleil ou d'eau (comme l'an dernier) ? Nous espérons la première hypothèse...

Merci de vos visites ; je vous souhaite une très belle semaine avec plein de belles choses et peut-être la préparation d'une petite déco de Pâques !

A bientôt, je vous embrasse. Mireille.