Bonjour à toutes et à tous.

Le titre de mon message n'est pas exact car aujourd'hui, après le Vercors et sur le chemin du retour en Auvergne, j'ai proposé à l'Homme de découvrir le Palais Idéal du facteur Cheval à Hauterive, dans la Drôme.

Pour moi, ce n'était pas une découverte, c'était ma troisième visite, mais l'enchantement demeure.

Ferdinand Cheval est né en 1836 à Charmes, à côté de Hauterives, dans la Drôme.

Il appartenait à une famille paysanne assez pauvre ; il faut tout d'abord apprenti boulanger pour gagner "son pain" loin des siens ; il revient au pays et devient facteur rural.

C'est en 1879 que cette fabuleuse aventure débute ; il avait déjà 43 ans et il ramasse sa première pierre en faisant sa tournée de facteur.  Il consacre 33 ans de sa vie à bâtir seul, un palais de rêve dans son potager, inspiré par la nature, les cartes postales et les premiers magazines illustrés qu’il distribue.

On adhère ou pas à cette folie architecturale, mais dans tous les cas on ne reste pas insensible au génie bâtisseur et philosophique de cet homme.

J'ai eu beaucoup de mal à faire ces photos car il y avait beaucoup de visiteurs et des enfants qui courent partout (ce que je réprouve dans un lieu historique, mais les parents sont de plus en plus laxistes).

 Le Palais idéal a fait l’admiration des surréalistes et a été reconnu comme une oeuvre d’art brut. Il a été classé en 1969 Monument Historique par André Malraux, alors Ministre de la Culture, au titre de l’art naïf.

Ferdinand Cheval avait noté les distances qu'il parcourait lors de ces tournées postales, lui permettant de faire le plein de pierres diverses le long des chemins.

 Une page du livre d'or qui fut ouvert par le facteur lui-même dès 1905.

Si vous voulez en savoir davantage sur cette histoire et ce lieu, c'est ICI.

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Lylou-Anne, à travers son magnifique blog nous propose dès cette rentrée, de nouveaux thèmes pour ses rondes. Le thème de septembre est : lever et coucher de soleil.

Voici mes deux interprétations, lever côté jardin et coucher côté rue, chez nous en Auvergne.

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Avant de vous laisser pour aujourd'hui, je ne vous offre pas des fleurs, mais cette magnifique vigne qui orne l'allée d'accès au Palais Idéal du Facteur Cheval.

Le mois de septembre est déjà terminé, il a filé bien vite et les arbres débutent leur mutation vers l'automne, les premières feuilles dorées ornent nos rues et nos jardins, ce n'est que du bonheur à voir !

Belle semaine à toutes et à tous. A bientôt.
Je vous embrasse. Mireille.

Bonjour à toutes et à tous.

L'automne est en place depuis hier, mais comme un pied de nez, l'été fait un peu de résistance avec une jolie hausse des températures. Nous avons pris, hier justement, notre déjeuner en terrasse, un réel plaisir car il sera bien temps de s'enfermer des mois durant.

Et comme pour justifier cela, mon petit rosier offert par l'Homme, se pare de quelques boutons qui fleuriront sans doute si les températures ne baissent pas trop !

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Je vous l'avais promis, voici la suite de notre escapade de juillet dans le Vercors.

Nous voici à Pont-en-Royans, situé à l’entrée des gorges de la Bourne. L’un des bourgs les plus curieux en Dauphiné, ce village entre rivière et montagne avec ses maisons suspendues au-dessus de la Bourne est devenu la véritable capitale touristique du Royans.

Ce village surprend avec ses maisons suspendues dominant la Bourne, ses remparts, ses ruelles, son pont de pierres. Cette cité doit son charme à l’ingéniosité des hommes, qui, dès le XVIème siècle, ont construit ce village perché pour favoriser la négoce du bois.   

Le site des maisons suspendues au-dessus des eaux de la Bourne, inscrit aux titres des monuments historiques en 1944, avait impressionné l'écrivain Stendhal.

Les maisons suspendues sont uniquement visibles de l’extérieur, étant toutes des demeures privées.

Voici maintenant des vues depuis l'autre rive de la Bourne.

Pont-en-Royans c’est aussi la rivière, ses berges aménagées, le Musée de l’Eau et la pêche. Voci un exemple de ces aménagements : la récupération d'une source, transformée en fontaine et lieu de baignade.

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Que ce soit dans les petits villages, les petites ou grandes villes, il y a toujours des vitrines oubliées, des commerces fermés. Au delà du contexte économique, du souci d'emploi ou d'approvisionnement des riverains, il reste que beaucoup de ces devantures restent belles, longtemps après !

Voici ma participation à la prochaine édition des vitrines oubliées chez Pascale.

Ces photos ont été prises la semaine dernière dans le petit village d'Ardes sur Couze, dans le Puy-de-Dôme.

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Avant de vous laisser après un billet un peu long, je vous offre ce portail, dans ma série des portails inutiles ou inutilisés, photo prise à Pont-en-Royans.

Et pour terminer notre passage dans cette petite cité du Royans, il m'est impossible de ne pas vous parler de la spécialité régionale dont nous avons peut-être un peu abusé... mais c'est si bon !

Les ravioles du Royans !

Merci de vos passages et de vos petites lignes qui me poussent à continuer, j'aime ces échanges, ces idées qui circulent entre nous. Prenez soin de vous et des vôtres, à bientôt.

Je vous embrasse. Mireille.

Bonjour à toutes et à tous.

L'été est souvent, pour beaucoup, le moment de quelques transhumances plus ou moins lointaines.

En ce qui nous concerne, cet été pas de longue escapade hors d'Auvergne, mais j'ai permis à mon Homme de découvrir le Vercors, que je connais bien personnellement, étant originaire de la Drôme.

Alors dans un premier temps, destination La Chapelle en Vercors, petit village sans grand charme hormis son église et que nous avons étrangement trouvé calme et dépourvu d'activité bien que nous soyons en juillet.

Et comme dans beaucoup de villages, des commerces fermés, et cet établissement aussi, qui en dit long sur l'état de notre administration !

Et donc qui dit Vercors, dit vallées encaissées et routes parfois vertigineuses. Comme je conduisais afin que l'homme profite pleinement du paysage, il n'y a pas beaucoup d'images !!!

Juste celles-ci de Combe-Laval, une route qui a demandé un travail de dingue pour son perçage. Si vous voulez en savoir davantage, voici un lien intéressant : https://jihel48.wordpress.com/2013/03/08/routes-du-vertige-2-combe-laval/

Ce fût ensuite les Gorges de la Bourne, avec ce pont métallique, certes inutilisable, mais qui ne manque pas de charme.

On y retourne la semaine prochaine !

Et pas une semaine sans petite couture, voici ma dernière pochette pour le sac, afin de ne pas tout éparpiller.

Avant de vous laisser à vos occupations, voici à quoi ressemblait le ciel lors du dernier orage d'août, ici en Auvergne.

 Je tiens à vous remercier toutes et tous pour vos visites et commentaires depuis mes billets de rentrée, je sais que ce n'est pas évident pour tout le monde tant il y a parfois dispersion avec les tendances actuelles du net, mais je reste fidèle à Canalblog uniquement, cela me suffit.

A très bientôt, prenez soin de vous ; je vous embrasse. Mireille. 

Bonjour à toutes et à tous.

Le calme de l'été, mais surtout la bonne luminosité ambiante, m'a permis d'utiliser la machine à coudre de façon presque intensive.

Avec un coupon hyper soldé (5 euros) chez mon marchand de tissus habituel, voici deux sacs d'été.

Un sac à porter main, avec coquillages (et crustacés... oups non !) collés pour plus de réalisme ou de relief.

 L'intérieur avec sa doublure rayée et son porte-mouchoirs assorti... bien sûr !

Et côté verso :

 Et toujours dans ce coupon, un second sac à porter en bandoulière, doublé de blanc.

 Et puis l'Homme m'a légué un jean trop grand, alors après avoir utilisé les poches pour une création déjà présentée, j'ai continué de tailler la toile pour réaliser quatre boites réversibles, un peu étoilées, et toujours très utiles dans la maison.

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Lors d'une balade en Morvan, nous avons rencontré cette étrange machine, dans le hameau du Fourneau.

Le hameau du Fourneau (qui fait partie de la commune de Bourbon-Lancy) est situé à 5 km du centre ville en direction de Moulins sur les berges de la Loire.

Sur la place du village sont exposées les machines les plus significatives d’une installation qui, au début du XXème siècle, fournissait en pains de glace les hôtels, restaurants, bars, bouchers, charcutiers… des environs.

Le compresseur était entraîné soit par une turbine à eau, soit par un moteur Winterthur à gaz de houille. Sans utilisation depuis 1936, cette machine fut sortie de l’oubli 60 ans plus tard par une équipe de passionnés et exposée statiquement.

Le moteur Winterthur et la charpente reproduite sont très représentatifs de la technique des années 1900.

(source internet).

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L'été est plus que jamais, la période des salades ; l'Homme ayant repris le boulot, je me concocte donc ma "petite assiette" en plat unique, comme celle-ci (pousses d'épinards, sot-l'y-laisse confits de dinde, figues fraîches et parmesan en fines lamelles au couteau) ; elle est appétissante, non ?! Je me suis régalée.

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J'espère ne pas avoir été trop longue, je vous retrouve très vite pour une balade en Vercors.

A bientôt, je vous embrasse. Mireille

Bonjour à toutes et à tous.

Comme chaque été, Jeanne a organisé son "jeu des binômes".  

Cette année, j'ai été associée à Delphine du blog "Chines à Gaillac" ; nous nous connaissons virtuellement depuis de nombreuses années et ce fût un réel plaisir pour nous deux que de penser l'une à l'autre en préparant nos paquets !

Voici ce que j'ai reçu de la part de Delphine

Ces  jolis papillons annonçaient de belles découvertes.

L'ancien  :

 Le blanc :

 Le bois :

 Le parfumé :

Le délicieux :

 Encore un grand merci à toi Delphine !

Et voici ce que j'avais préparé pour ma binôme et, du coup, ce que Delphine a reçu.

 Et voilà, prête à refaire !

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Des images de la vitrine du boulanger de Mesvres - dans le Morvan - que j'ai trouvée charmante.

 Et toujours en Morvan, deux jolies vues du Canal de Loire, c'est si reposant !

Je ne pense pas être bien présente sur tous les blogs ces deux semaines à venir car notre fille et son fiancé sont en vacances en Auvergne et nous comptons bien en profiter... mais je ne vous oublie pas et vous remercie par avance de vos passages sur mes pages, la porte restant grande ouverte !

A bientôt, je vous embrasse. Mireille.